Sur le ton de l’humour, l’auteur fait part de son désarroi face à l’abondance caractérisant les sociétés modernes. Il y a trop de journaux sur la devanture d’un kiosquier, trop de chaînes de télévision, trop d’embouteillages, trop de choix dans les supermarchés, etc
Felitsa vit dans un village perdu de la taïga russe à la frontière de la Chine. C’est son dernier été avant de partir à la ville la plus proche pour y suivre des études en tant que pensionnaire d’un collège public. Sa mère est garde-chasse et à ce titre se doit de protéger les animaux contre les braconniers avec le peu de moyens que lui octroie le gouvernement. Au moment où l’histoire débute, une tigresse et ses deux petits viennent d’être repérés. Felitsa aide sa mère à pister les animaux et à leur poser des puces électroniques. Un jeu de chat et de souris commence entre le groupe d’amoureux de la nature et les braconniers avides qui savent déjà parfaitement à qui vendre les peaux et quel 4×4 ils s’offriront avec le produit de leurs meurtres.
La Terre, son sol, ses ressources et sa beauté apparaissent dans cet ouvrage qui accorde une large place à la photographie. On en prend plein les yeux…C’est plein de couleurs et de sujets qui invitent à réfléchir. Demain, comment sera la vie sur terre ? Aura-t-on tout épuisé ? Quels choix effectuer ? Quel mode de vie emprunter ? C’est un documentaire qui raconte les techniques agricoles, parle des modes de consommation en faisant le tour de la planète, s’attarde sur des questions de goût et s’intéresse à la santé. Un regard sur le monde actuel ; une fenêtre ouverte sur le monde de demain.
Enfant, Paul Watson détruisait les pièges pour sauver ses amis les castors. Quelques années plus tard, après avoir cocréé puis quitté Greenpeace, il fonde Sea Sheperd («Berger des mers») et se lance dans la défense des océans et de leurs habitants. Aujourd’hui exilé en France, sur la liste rouge d’Interpol, le « pirate des océans » livre ici le récit de son itinéraire singulier. Écrit à la première personne, richement illustré par les dessins du Français Hédi Benyounes (Graphik H), cet ouvrage devrait captiver les lecteurs passionnés de nature. Et qui sait, peut-être faire naître des vocations ?
pour le roman “TROP” de Jean-Louis FOURNIER qui parle de tout ce qui es en trop et que tout est soit à des prix excessif ou soit trop gros sur terre mais que du coup tout le monde a besoin, et bien ce fait de se rendre compte de ça me fait rire parce qu’on a toujours besoin de quelques chose et quoique ce soit .
et pour le livre de Xavier-Laurent PETIT “Un monde sauvage” qui lui parle de braconniers et d’amoureux de la nature j’ai bien aimé ce ” je de chat et de souris” dont il est question.
Pour moi si je devait choisir entre l’amoureux de la nature ou bien être braconniers ce serais sans hésiter le premier chois car je suis pour la protection des animaux et non pour le contraire.
Ca m’a fait rire le moment ou ils ont évoqués le sujet du 4*4.
J’ai lu le livre Pirate des océans car j ai aimé la couverture du livre : Le capitaine Watson est contre la pêche aux baleines et va se battre contre les pêcheurs qui les tuent . Dans ce livre les dessins sont très jolis et les histoires sont courtes. J’ai bien aimé le lire