Graines d'écolectures - Prix collégien du livre environnement

J’ai lu “Moi Pirate des Océans” de Capitaine Paul Watson, qui nous donne une leçon de vie : arrêtez le massacre des cétacés dans nos océans.  Toute créature vivante est dotée d’intelligence. Il explique la folie de l’homme face au massacre des animaux marins. Il consacre sa vie à sa passion, la mer, et à la défense des animaux marins.

Je n’ai pas vraiment aimé. Je ne suis pas attirée par les créatures marines, par contre si vous aimez des livres sur la mer, je vous le conseille et je vous dis “Bonne lecture !”.

Le livre “Trop” de Jean-Louis Fournier est un roman qui dénonce les excès de notre société et la confusion qu’elle engendre. L’auteur met l’accent sur le fait que bon nombre de produits que nous consommons sont superflus.                                                                                                                                   Cela met en avant les excès de notre société de consommation. Par ses exemples et son écriture originale et humoristique, il nous montre que le monde moderne s’invente des besoins inutiles.  Cela nous interroge sur l’intérêt de cette multitude de produits.

J’ai beaucoup aimé ce livre car Jean-Louis Fournier nous fait réaliser à quel point la société d’abondance est confuse. De plus, c’est un livre assez court (cent quatre-vingt-quatre pages) et très facile à lire.                                                                                                                                                                                Si je peux faire un reproche à ce très bon livre, c’est qu’il se contente d’énumérer la multiplicité de produits sans nous en donner les conséquences et les effets néfastes de ces “trop”.

Voici deux passages du livre qui m’ont marquée :

“Qu’est-ce qu’ils en font de leur argent les patrons qui gagnent trop d’argent ? Ils achètent trop. Ils ont trop. Parfois, ils souhaiteraient gagner moins, ils essayent, mais ils n’y arrivent pas, les pauvres.”

“C’est trop long, la vie. Elle n’est pas partie à temps. Avant, on savait mourir à temps. On s’accroche. On vous accroche. On vous donne plein de médicaments. Le pilulier remplace le calendrier.“

Ce livre a été écrit par Xavier-Laurent Petit, il y a 250 pages et il se lit d’une traite.

Le personnage principal de ce roman est Felitsa, elle vit à la frontière de la Chine ; le nom du village est taiga. Felitsa veut faire des études dans une autre ville mais avant de partir, elle reste dans ce petit village avec sa mère qui est garde-chasse. Le travail de sa mère consiste à protéger les animaux contre les braconniers sur une grande zone. La mère de Felitsa n’a pas beaucoup de moyens pour protéger cette zone. Le commencement de cette histoire est quand une tigresse est repérée vers la zone et cette tigresse est enceinte. Cette tigresse est faible à cause du froid et elle accouche de deux petits tigres. Felitsa et sa mère protègent la tigresse et les petits en leur mettant des puces électroniques pour garder leurs traces. Mais les braconniers vont suivre la petite famille…

Ce que j’ai aimé

Dans ce roman on apprend beaucoup de choses sur les animaux et cette histoire représente beaucoup la vie réelle. Quand tu commences l’histoire, tu as très envie de lire la suite car il y a beaucoup de suspense et il y a beaucoup de scènes mouvementées. Je n’ai pas de points négatifs à dire sur ce roman car c’est une histoire très émouvante.